Lee Konitz : Subconscious Lee ,1950 : 3,61/5 Belles orchestrations alternant des mélodies rapides avec saxophone, piano, contrebasse et guitare (Subconscious Lee, Ice Cream Konitz) ou plus lentes sous forme de ballades (Restrospection, Judy, Rebecca et le superbe You Got To My Head). N° Titre Compositeurs Critique 1 Progression Lee Konitz *** 2…
Lennie Tristano : Crosscurents ,1949 : 4,23/5 Mélodies impressionnantes, mélange parfait entre le piano, la contrebasse et les instruments à vents, il y a un rythme assez incroyable sur cette oeuvre (Wow, Crosscurent et Extrovert). Wow fait la part belle au piono de Lennie Tristano et aux saxophones. Extrovert montre toute la…
La belle Nivernaise, 1923 : 14/20 Très beau film d’Epstein. Une première partie qui fait penser au Kid de Chaplin. Très beau plan de l’enfant accroché à son poteau observé par une foule variée. La seconde partie du film est aussi intéressante avec une belle prestation du jeune couple. Scènes émouvantes, personnages attachants,…
L’amour d’une mère (Haha O Kowazuya), 1934 Film incomplet d’Ozu (il manque la première et dernière bobine), de ce fait, assez déstructuré avec des avances du temps assez visibles. On a du mal un peu à comprendre les ressentiments du fils aîné par rapport à sa belle mère et à son frère. Ça…
Le galopin (Tokkan Kozo), 1929 Film malheureusement incomplet aujourd’hui (15 minutes seulement subsistent), avec des kidnappeurs qui ne peuvent plus supporter les bêtises du petit galopin qu’ils ont enlevé. Du peu de séquences qu’il reste, les scènes sont très drôles. http://www.imdb.com/title/tt0020509/?ref_=nm_flmg_dr_43
Une poule dans le vent (Kaze No Naka No Mendori), 1948 : 13/20 Thèmes chers à Ozu, une femme qui doit se prostituer pour financer l’hospitalisation de son enfant. La première partie du film, sans le père de famille, prisonnier de guerre, a un rythme assez lent. A son arrivée, le film devient…
La femme du bout du monde, 1938 : 8/20 Film se déroulant sur une île rocheuse au milieu de la mer au bout du monde. Seuls habitants, une famille dans une cabane avec une femme qui est l’objet de toutes les convoitises sans faire de charme. Quelques scènes de tensions par ci, par…
L’auberge rouge, 1923 : 13/20 Belle adaptation de Balzac par Epstein. Véritable artiste et expérimentateur du cinéma, Epstein ose par sa mise en scène à réaliser des séquences de façon audacieuse. Gros plans sur le héros faux coupable, vision fantomatique de la diseuse de bonne aventure, plans des arbres dépouillés de feuilles. « Un…
L’empire de la terreur (Tales Of Terror), 1962 : 13/20 Film composé de trois histoires bien distinctes, la première totalement horrifique sur l’esprit d’une femme morte qui utilise sa fille pour se venger. Vincent Price en mari déprimé est parfait dans le rôle. Cette épisode ne manque pas de suspense et d’horreur. La…
L’enterré vivant (The Prematurial Burial), 1962 : 12/20 Nouvelle adaptation d’une nouvelle de Poe avec réussite, avec une très bonne ambiance horrifique mise en scène par Corman : décors à faire frémir (brouillard et arbres morts continuellement autour de la demeure). L’extérieur est noir et gris tandis que les intérieurs sont éclatants de…