Alice n’est plus ici (Alice Doesn’t Live Here Anymore), 1974 : 08/20 Film qui sort totalement de l’univers souvent masculin de Scorsese où l’on suit les aventures d’Alice avec son jeune fils, confrontés à des difficultés financières et de couple à travers l’Amérique. Cette fois-ci Harvey Keitel joue le rôle de quelq’un de violent. Le…
Mean Streets, 1973 : 15/20 Nouvelle exploration de la ville de New York et plus précisément du quartier italien avec des personnages très scorsesiens. Charlie, interprété par Harvey Keitel est tiraillé entre le milieu de la mafia et la repentance. Ce personnage reprend un peu celui dans Who’s That Knocking At My Door ? (1967). Johnny…
Bertha Boxcar, 1972 : 12/20 Film dans la veine de Bonnie & Clyde, Badlands et Bloody Mama sur une bande de bandits écumant les Etats-Unis. La mise en scène de Scorsese est très correcte, il utilise bien les éclairages naturels des sublimes paysages américains. On retrouve les thèmes religieux chers au réalisateur comme le…
Who’s That Knocking At My Door, 1967 : 16/20 Premier long métrage de Scorsese et déjà quel film ! New York, la bande de mauvais garçons italiens, la relation compliquée avec une jeune femme, la religion. On retrouve vraiment tous les ingrédients des films de Scorsese. Et déjà quelle bande son ! Les plus…
The Big Shave, 1967 : 15/20 Troisième long métrage de Scorsese réalisé en pleine guerre du Vietnam. Est ce l’image d’une Amérique en mal être ou tout simplement un sentiment dépressif déjà chez Scorsese ? Rythme, mise en scène et idée très audacieuse.
It’s Not Just You, Murray !, 1964 : 12/20 Deuxième court métrage plus intéressant de Scorsese. On voit déjà le héros parler face à la caméra comme s’il dialoguait avec le spectateur (qu’on retrouvera dans les Affranchis, Casino, Le loup de Wall Street, par exemple). La mise en scène est plus audacieuse, plus en…
What’s A Nice Girl Like You Doing In A Place Like This ?, 1963 : 10/20 Premier court métrage de Scorsese assez étrange où un homme est obsédé par un tableau. Mélange de photo montage, de gros plans, de scènes répétitives parfois, on voit bien dans ce petit film les premières armes « universitaires »…